Bonjour,
Etant donné qu'on m'a déjà, à deux reprises confirmé des interventions de techniciens, j'en déduis que soit l' "étude" de ma commande est terminée depuis longtemps (probablement depuis la venue de la première équipe de sabotage d'Orange, le 29 Juillet), soit qu'Orange programme des interventions sans cette "étude", ce qui signifierais qu'Orange sait pertinemment, au moment de fixer le RdV, que les techniciens ne se déplacerons pas...
D'autres part, combien de temps, le dossier va t-il rester en "étude" ? Cela fait maintenant 2 mois qu'on attend d'avoir Internet de façon convenable... Au départ c'était le 29 Juillet, après c'était "plus tard" ou "pas maintenant", ensuite c'était fixé au 13 Septembre et maintenant, c'est en "étude" ? Une fois de plus, si Orange est incapable de raccorder un usager, autant l'annoncer directement, et non le faire attendre 2 mois et le prendre pour une tanche durant toute cette durée.
Quand vous dites "Nous reviendrons vers vous lorsque le traitement sera terminé." Vous rêvez j'espère ? Premièrement car Orange n'honore JAMAIS ses RdV, que ce soit téléphonique ou en physique, ensuite car je ne vais pas attendre sagement pendant encore X mois que votre service daigne se réveiller et programme une 3ème intervention. Pour vous remémorer certains éléments, j'ai du appeler le 3900 le 15 Septembre pour découvrir qu'une intervention était prévue chez moi le 17... (intervention pour laquelle j'ai pris une journée de congé, sans jamais voir le service tech pointer le bout de son nez) sans mon appel, je n'aurais jamais été informé. Il faut assumer, à un moment qu'Orange se moque de l'abonné au travers des différents services qui ne font pas leur travail.
Actuellement la patience, pour Orange, je n'en ai plus du tout, surtout devant des services qui se fichent de moi. Et de la compréhension, encore moins car Orange est Leader Français des télécoms et que nous sommes en 2021.
Les bonnes journées, j'en suis privé depuis le 29 Juillet. Maintenant, rien ne vous empêche, vous, d'en passer une.
